Les feuilles de papier dans toute la pièce envolées
Oui, j'ai bien fait de par le feu toutes les brûler !
A quoi bon les semblants de paroles qui ne trouveront jamais
De fous assez grands pour vouloir les épouser
Les mensonges inventés dominent et créent
Jusque dans nos gênes, la création même de leurs histoires
Interdisant les pensées déchaînées
Les mots couchés sur le papier se sentent emprisonnés, étouffés
Paroles sans époque, sans temps, sans monde
Sa voix résonne sans écho du haut de sa montagne
Ses rires seul les oiseaux les partages
Et ses pleurs perdus dans l'immensité de l'amour
Que vers ses semblables sont éprouvés
Seul toi les comprends...